Bienveillance et médicalisation

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Comment développer sa bienveillance ?

Faire du bien aux autres, c’est faire du bien à soi-même. La bonté, cette “charité communément valable”, composée de petites motions altruistes, fait ressortir le meilleur de chacun. A créer sans équilibre !

La générosité est un artifice dans les discussions des mentors, des responsables des ressources humaines et des législateurs. Ce serait le moyen d’éclairer tout ce qui n’est pas juste. C’est le moyen de supprimer les incidents du monde et de stimuler l’inspiration. Il n’est pas possible de maintenir cette vision pour la seule raison de se donner une voix intérieure décente ou de se défendre soi-même. Non, il s’agit de préparer cette véritable aptitude qui vous permet de nouer un lien véritable et durable avec les autres.

La considération est une inclination décente qui vous améliore et vous comble : elle construit la nature de la relation, tout en diminuant les sentiments d’anxiété.

L’altruisme est un signe de perspicacité

“Entre désir (de vouloir le bénéfice de l’autre), volonté (d’avoir besoin du bénéfice de l’autre), et bonne obligation (de l’humanité), la disposition altruiste, indice de connaissance, consiste notamment à agir dans le but que l’autre puisse s’épanouir dans son bien-être, sa vie d’expert et d’individu”, résume le précédent spécialiste des crises, Philippe Rodet.

Avec l’engagement de prendre le chemin pour le faire en tant que tel : aborder les questions essentielles, donner une sécurité mentale pour se mettre en route, obtenir des signes faibles ?

Qu’est-ce qu’un individu conscient ?

La thérapeute Rebecca Shankland dépeint, dans son travail, les trois piliers de la bonté :

– L’autonomie, la différence reste un divertissement époustouflant, de ses décisions.

– Le sentiment de compétence(s), le différent se sent estimé, as de soi et de ses activités.

– Le sentiment de proximité sociale, le différent se sent compris, reconnu dans ce qu’il est. Le “bon cœur” de son côté se sent “à l’endroit idéal, au bon moment”, à l’écoute, au maintien, à l’énergie, au calme. En cela, la considération doit être reconnue à partir de la bienveillance, de la libéralité. Faire des efforts envers l’autre.

Tenter de contacter d’autres personnes

Se prendre en charge, modifier ses mots, reconnaître ses besoins ou ses désirs, adapter le travail, maîtriser les difficultés… “L’altruisme exige de l’effort”, affirme le Dr Rodet. Alors soyez attentifs pour ne pas vous laisser distraire par des émotions négatives, l’indignation, le licenciement, l’épuisement… destructeurs pour soi-même comme pour les autres !”

L’essentiel consiste à exciter des sentiments plus sûrs que les négatifs, au motif que le dernier sera plus retenu que le précédent. La neuropsychologue américaine Barbara Fredrickson a indiqué que, pour prospérer, les gens doivent s’impliquer avec au moins trois sentiments positifs pour un sentiment antagoniste.

De cette manière, assurez-vous d’être raisonnable, avec vos jeunes, dans un groupe de travail, au club de football. Essayez de faire des éloges, avant d’attirer l’attention sur les aspects négatifs et les progrès à réaliser. Trouvez comment vous rendre accessible pour inviter le trouble ou l’envie de l’enfant, du compagnon ou de l’associé. Donnez aux autres la possibilité de commettre des erreurs, d’avoir besoin de vitalité… La contribution enthousiaste sera révolutionnaire : se sentir comme un pionnier décent, un parent décent, un ami fraternel.

Ne faudrait-il pas parler de la coordination de l’administration des soins dans le domaine médical ?

En réalité, cela pourrait faire sourire les individus… La gentillesse, un terme abusé, voire innocent ? Cependant, je l’accepte. Dans les soins médicaux (et ailleurs), sans altruisme, il n’y a pas d’administration de qualité, et cela inquiète à la fois le chef des spécialistes et les superviseurs des spécialistes !

Est-ce une pensée d’ordinaire féminine ? Au cas où ce serait le cas, cela montre bien la nécessité d’intégrer les femmes dans les éléments administratifs des soins médicaux !

Dans sa définition, la considération est l’attitude émotionnelle d’une volonté qui se concentre sur la grandeur et la béatitude des autres. Elle est représentée par une mentalité de réceptivité et de mise au point. Elle n’empêche pas, en réalité, d’accepter sa place de pouvoir, de prendre des choix à un moment donné et de les attendre. Cependant, pour faire ces choix, le chef dépendra des annonces de ses partenaires et aura garanti une série de discussions.

Les cadres au grand cœur auront la possibilité de restreindre le type de conseil moderne qui est représenté par une perpétuelle impulsion à l’intensité, par un modèle de conduite énergique au travail et ses flotteurs déshumanisants.

Passé les contemplations absolument commerciales du style : un travailleur heureux est un représentant rentable, enclin à rester dans l’organisation et moins absent, il y a chaque enthousiasme pour adopter un modèle de gentillesse afin de lutter efficacement contre une urgence qui nous submerge, en se souvenant pour les services médicaux : le nombre croissant de burnout et l’épuisement des experts.

Concrètement, l’administration institutionnelle et les responsables de groupes, qu’ils soient spécialistes ou non, doivent se préparer et avoir à l’esprit quelques phrases d’accroche qu’il est essentiel de rappeler et d’illustrer.

Cela commence par le soutien de l’équité faisant autorité au sein des organisations de soins médicaux. Une association qui fait progresser la décence dans les métiers en incluant la personne dans sa relation avec ses patrons, ses subordonnés, ses partenaires et le cadre social.

De cette façon, l’équité distributive, qui garantit une circulation raisonnable des courses, qui perçoit l’inclusion des médecins dans la clinique d’urgence et dans l’espace public, est un instrument significatif dans la lutte contre l’épuisement passionnel, lui-même un indice cardinal de l’épuisement professionnel.

L’équité procédurale, qui explique tous les cycles dynamiques, est précieuse dans la lutte contre la dépersonnalisation et la séparation, autres indications cardinales de l’épuisement.

En outre, il faut estimer un climat de travail décent. Il est certain que l’absence de réflexion à l’égard du conseil d’administration et des associés est considérée comme une source importante d’épuisement professionnel.

Soutenir une indépendance professionnelle satisfaisante. Une grande autonomie crée un sentiment de découragement et d’abandon, mais trop peu est vécu comme une abondance de contrôle.

Permettre de se libérer des affrontements et des provocations. Cela inclut, entre autres, l’amélioration de la correspondance et le droit de parler librement, une limite d’écoute, le maintien d’une impartialité spécifique (pas de copinage), l’accessibilité, mais aussi une capacité à faire des choix pour arrêter l’intensification de certains affrontements. Éduquer sur les cycles dynamiques, les clarifier, essayer de les évaluer dans un cercle d’entrée où chacun peut communiquer. Garantir la bienveillance entre chaque individu (à commencer par l’individu lui-même), percevoir le travail et réaliser comment complimenter et remercier pour les courses accomplies, en ce qui concerne les qualités et les attributs socio-sociaux de chaque individu, tant qu’ils sont viables avec les estimations de l’organisation, sont différents pointeurs qui prendront en considération l’anticipation la plus idéale de l’épuisement. Nous passons environ 33% de notre vie professionnelle au travail, à condition que cela se fasse dans les conditions les plus satisfaisantes possibles pour chaque individu.

C’est une bonne affaire : les fondations de soins médicaux auront une plus grande fiabilité professionnelle, les tuteurs seront moins épuisés et les patients seront enfin mieux traités.

Une figure parentale compatissante diminue l’agonie du patient

Il est modérément reconnu que la sympathie est une qualité de base dans une figure parentale. On s’accorde essentiellement à dire qu’une personne qui en a besoin rabaissera le tourment vécu par d’autres, y compris un patient. Cependant, une absence apparente d’empathie peut-elle accroître la perception d’une sensation atroce ? De quelle manière la conscience claire d’un service médical compétent peut-elle atténuer l’impression d'”être dans le tourment” ? Les chercheurs de l’Inserm ont mené une enquête à ce sujet, non sans difficultés.

L’anxiété des tuteurs atténuerait l’agonie des patients, mais comment ?

Le comportement des experts en soins médicaux permettrait d’ajuster la manière dont les patients se sentent tourmentés. Cependant, si par hasard la compassion diminuait l’impression de tourment, l’indifférence l’augmenterait-elle ? Et comment pourrait-elle le faire ? Un groupe de spécialistes de l’Inserm devait confirmer l’effet antidouleur populaire de la prise en charge par les figures parentales. Ils ont également tenté de voir comment cela était possible. Leurs travaux ont été diffusés tout récemment dans l’agenda Rapports scientifiques.

Il faut se rappeler que les examens passés avaient juste recommandé que la sympathie ait un impact trompeur. L’enquête sous-jacente provient d’une constatation typique dans les bureaux des cliniques. Chaque spécialiste ou soignant se rend compte que son comportement peut avoir un impact sur les sentiments difficiles des patients. En reconnaissant la durabilité, la compassion peut diminuer le tourment”, précise Camille Fauchon, scientifique du groupe Intégration centrale de la douleur chez l’homme du Centre de recherche en neurosciences de Lyon et principal créateur de l’enquête.

Dans cette optique, dans un premier rapport, les chercheurs ont tenté d’observer d’autant plus intensément cette merveille de soulagement de l’inconfort. Pour ce faire, ils ont mis au point un test qui devait refléter l’état clinique aussi intensément qu’on pouvait s’y attendre dans les circonstances. Nous avons fait appel à un groupe d’animateurs experts qui ont joué des phrases composées par les psychothérapeutes, selon trois variantes : impartiale, sympathique ou non, avec de solides mots d’ordre. Ces remarques ont été enregistrées. Au cours de l’enquête, l’individu exposé à des stimuli atroces alignés a entendu les “expérimentateurs” parler dans la pièce suivante, a déclaré le pro.

Les membres ont été sollicités pour évaluer la force de leur agonie sur une échelle de 1 à 100, et selon les auteurs, ils ont été exposés à des stimuli se rapportant à environ 60, un tourment qui était à ce moment là présent bien qu’endurable, ont-ils évalué. Tout bien considéré, les résultats sont clairs : la force de la sensation atroce a été diminuée d’environ 12 % lorsque le député a entendu des remarques aimables. C’est très remarquable : quelques médicaments ne font pas mieux”, souligne Camille Fauchon. Mais là encore, face à des mots indiquant une absence de compassion, le tourment n’a pas été surestimé. Sans doute, on a pu penser que des commentaires négatifs pouvaient soit inciter à un sentiment de culpabilité, soit provoquer une aggravation spécifique, avec un effet négatif sur le tourment, mais ce n’est pas le cas. Les chercheurs acceptent que les patients utilisent un élément de sauvegarde simple : ils s’assurent eux-mêmes en cessant de se brancher.

Voies cérébrales

Le groupe a alors fait un pas de plus dans son travail pour comprendre quels instruments cérébraux sont responsables de cette merveille. Dans ce nouvel examen, les nouveaux venus étaient cette fois allongés dans un IRM tout en étant exposés à une amélioration tout aussi difficile. Ils ont été défiés par des remarques du même genre : sympathiques, impartiales, non compatissantes par des écouteurs prétendument laissés allumés “involontairement”.

D’après les travaux antérieurs, les spécialistes ont réalisé que la mise en place d’une sensation d’agonie était complexe et nécessitait l’association de nombreuses organisations neuronales acquérant une expérience pratique dans diverses entreprises. Pour commencer, il y a les régions susceptibles d’accepter des signes tangibles de la région du corps animée. Il s’agit des organisations de premier niveau ou de bas niveau. Cependant, ce signe est ensuite préparé par d’autres organisations supposées supérieures. Ces districts de deuxième ou de troisième niveau vont apporter toute l’aide nécessaire à la sensation difficile en incorporant des mesures intellectuelles, enthousiastes ou liées au milieu, des subtilités du scientifique. Néanmoins, selon l’investigation de l’information, ce sont ces organisations qui sont touchées de manière décisive lorsqu’une figure parentale montre de l’anxiété envers un patient. Il est évident qu’en voyant la compassion d’autrui, la disponibilité utile de ces territoires de l’esprit s’étend, ce qui peut refléter un cycle de contrôle de ces zones focales dans la thérapie de l’agonie, incitant à une réévaluation de sa force. Ceci affirme qu’en changeant le cadre avec une disposition empathique, nous ajustons l’impression d’agonie par l’enrôlement d’organisations mentales de niveau significatif, finit le créateur.

Pour une raison étrange, alors que les remarques altruistes étaient collectivement considérées comme certaines et merveilleuses par les membres rencontrés par la suite, seuls 33% d’entre eux considéraient les remarques non compatissantes comme dangereuses ou ennuyeuses. De plus, les déclarations édifiantes sont traitées de manière plus contrastée par la structure de notre cerveau que celles qui ne sont pas sympathiques.

Néanmoins, comme tous les examens, celui-ci présente des contraintes, notamment la précision des créateurs selon laquelle les membres ont écouté de façon latente la discussion des expérimentateurs et n’ont pas participé à de véritables échanges. Nos résultats ne peuvent donc pas donner une image totale des cycles neuronaux engagés avec des associations de figures parentales discrètes, reconnaissent-ils.

Chacune de ces révélations donne une compréhension supérieure de la façon dont les organisations neuronales supervisent le tourment, ce qui pourrait ensuite aider à distinguer de nouvelles cibles utiles et, par la suite, de nouvelles techniques pharmacologiques pour l’atténuer.

Entre-temps, loin d’avoir terminé son examen, le groupe vient de lancer une autre entreprise, toujours dans le domaine de la connexion entre la sympathie et la force agonisante. Mais cette fois, il se concentrera sur… les soutiens, et plus explicitement sur les pleurs des bébés vus par leurs parents.